Michel, Joseph-Etienne : Histoire de l'armée départementale des Bouches-du-Rhône, de l'entrée des escadres des puissances coalisées dans Toulon, et de leur sortie de cette place|précédée d'une introduction sur l'origine des troubles du Midi, sur leur durée, et les moyens de les faire cesser

39 ) ville eût été confiée à ceux des ou nais, S lr lesquels on pouvait compter, eaux réfugiés, qll'on n'a jamais voulu armer. On préféra le part· de se fortifie ans T u– Ion. Les bataillons français furent casernés sur des vaisseaux démâtés, et condalunés à la nullité. On laissa au fort Faron les troupes cIe ligne qui étaient revenlles de l'armée dé .. partenlentale. On mit garnison espagnole ou nglaise dans les autres forts et redolltes.. On travailla à faire un fort à Mr Ibousquet. On établit des postes, et ensuite on fit des camps à alnt-Ploch, près le pas de la Masque, auxSa– j.e tes, à l'Eguille.re et à Balagu·er. Celui-ci evint le plus considérable. Les coalisé ~ le lommèrent le grand Camp; les français, le petit Gibraltar. L'armée cl JS coalisés grossissait tous les jours Il arrivait beaucoup de troupes espagnoles, piémontaises , napolitain~s. De son côté, l'armée de la convention se recrutait, faisaIt ses dispositions d'atta Le vaisseau français, le Puissant, de 74 ca nons, et le vaisseau anglais la Plin s oyale de 10, furent embossés dans la rad our empêcher les ennemis de former de . . , é abl·ssemen · a t InquIete il e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_223

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