Michel, Joseph-Etienne : Histoire de l'armée départementale des Bouches-du-Rhône, de l'entrée des escadres des puissances coalisées dans Toulon, et de leur sortie de cette place|précédée d'une introduction sur l'origine des troubles du Midi, sur leur durée, et les moyens de les faire cesser

( T 7 ) '-rent à zéro, prIa dés tion on eu citoyens. Les ns allerent s'el fernler à la Ba .. tille,. ce fut le us grand nonlbr . L€s a tre firent les m," a s. Ceu.x-ci avaient cl ,8 affaire. pre ant,5, t ne pouvaient pas qUItter leu maiSOI1. Ceux... ' t'a. abandonnaient le })ataillon de dépit, e di~ant qu'ils ne voulaiellt \pas se ~attre pour les autres. Ainsi ql1atre ou cinq cents homnles 'e fllssent reIldu maîtres de cette gra~ide ville, l'eussent pillée et saccagée leur aise. Mais les Inarins, aussi an1is de 'ordre et des loix, qu'ennelnis cl' clarés des factieux de tOllS les pays, l)ra Tes, accoutunlés à n~épriser les darlg~rs , prévinrent tallS ces Inalllel1rs, et l'honneur de cet te journée ne fut partagé avec eux que par un très-pe it non1bre di, utres citoyers, qui, al1imés de l'amour de leur pays, saIl" s'arrêter à la juste indignation que leur inspirait la défection et la lâclleté de leurs concitoyens, n'abandon– nère11t jan al ellfS drapeaux, et ne quittèrent les armes qu.e qua.nd 1'ennell1i fut 11or~ des lnurs. Les rebelles, en s'en allant al)andonnèrent un de leurs carl~ns près la porte (le la J liette, et prirent le cllelnin d'Allallch Il 1lara.it que leur intelligence a Tee Cartaux ne fut pas hie 3 e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_223

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