Monclar, Ripert de : Notes indiquées dans le compte rendu des constitutions des Jésuites par Mr. Jean-Pierre-François de Ripert de Monclar, procureur général du roi au Parlement de Provence

24 N ci Till i . néral , ne peut être regardé comme le Ce i ment d'un particulier) c'efr la défenfe de la foi catholique fur cene mariere , & l'apolo– gie de la ociété entiere dans l'affaire d (èrment d,)allegeance" contraire à certe foi. Il eft dedié aux Rois & aux Princes bons & fideles cath liques; il efr écrie contre un Roi here ique) mais di(po(é à favori(er les Catholiques, s'ils confentolem a ne pas dé– po[er ou tuer leurs Rois à l~ordre (lu Pa e., Il en: viGble que pour le biell de la réli– gion en Angleterre; & pour le repos des Ca tholiques ) on a dû adoucir la doétrlne re– gicide) & rabattre toUt ce qu'on pouvOtt des principes du Corps; Le livre de Suarez était donc le dernier mot de la Société ell 1614 [ur cette mariere; commelle peut-oll le concilier avec l'idée qu'on veut nous do 1– ner du decret d' Aquavi va de 16 10 ? J'ajoute ell finilfanc, que les mots confa– crés dans cette di[pute du Tyrat111icide ) & 1âns celfe employés pa Suarez pour lignifier Dures per[Oll11es [ont) a qualibet perfona, t quolibet) cuilibet particulari perfOn~) qUdscum. Cf e perfOna ) l1ûcumque homini; c'el1 le qUl– libet ? le quemcumque de J all Perit, le quo. mq e Mariana, & le cuicurrJc]ue pe;jà- c ·qu perfonn& u ecret d' q L e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_075 (02)

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