Monclar, Ripert de : Notes indiquées dans le compte rendu des constitutions des Jésuites par Mr. Jean-Pierre-François de Ripert de Monclar, procureur général du roi au Parlement de Provence

OTE L V II 1.' Il ·eut II Aquavi a ait (1-'h ndu d'en(ez hl el' qu'il dt permis à qnelq~ .perfonne qu . ce (oit de [uer Ull tyran, Itcttt41rJ ejJe ctti_ cNmque perfOntt,. j'y confens; è pour démê– J r l'équivoque a laquelle le CUl" ar ifieieu ~ de la phrafe donne lieu, il fau r d'écon1po[er le Décret) & (éparer la propoilti 1 affi~'ma- ive que le Général défend de [outellÎr. La oici : Il eA: loilible a qnelq l'e perrOl ne q 'le ce {oit, cuicumqt4C pcrfont-e, c'eft-a-dire, au renlier venu, de tuer U11 Roi (JU Prince, (ous elql.le prétexte de ty atlnie (a) gue ce {(Ji ~ c el1:-d dire, tyral1nie d' (urp~ -ion) ou ~ yran– Jlie d~adminifiration. Le Décret [e reduit dalle a défel dre de fou– e ir cette proporîtion indéfinie : Tou t tyrall , it d'adOlil1ifiratiotl , foir d~u(urpa(·()11 '. peut être rué par ~oute per[ontle. C'efl: la doétri- . . _. -~--_ ..... _-------------:---- Ca) Ce [011 ces mots, fub quoc·umqtte pr~textu ), q~i ont été mis à deifein. pour éblouir. Ils ne figni-. fient pas qu'on ne pourra tuer un tyran, fous gueI– ne prétexte que ce' foit. OQ a voulu le faire croire ar le tour artificieux de la période) qui lie la pro– ofition prohibée a Tee l'oraifon qui la défend. Aquaviva ta point ordonné d)en{( .gner la propoGtion négative, il n' fi permis à q li que ce roit, fous quelque r't qne ce (oï't de tl1er un tyran. 1 défe11d {( i 1 r a p r p fi t ion a ffi r lna t ive) q li i l fi per- · a h l uer un yran fluel qu'il foit. ( Voy ) uilib t t r ~ nnu p r q1temc emque vp,f- e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_075 (02)

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