Monclar, Ripert de : Notes indiquées dans le compte rendu des constitutions des Jésuites par Mr. Jean-Pierre-François de Ripert de Monclar, procureur général du roi au Parlement de Provence

OTE XV ui va 1t leq uel le éligieux eft au ifé, e certains cas, à réalifer par fon confen em 11 une caure imparfaite de renvoi, 1., c. 2. ~ ------------<\--~----------- ions, & encore n10ins les Dêclarations & les D crets des Congrégations) dont il Fau t recueillir toutes 1 s petites finefTes) pour induire) non pas l'exifience) mais la néceŒté prétendue de ce paéte, dans le [yi=– têlne de Suarez) dont voici l'argument. Les Conftitutions ne feraient point juftes & ca· noniques) fi ce patte tacite n'exifioit point: or le Confiitutions (ont jufies & canoniques ; donc ce patte exifre. Je dis) au contraire, les Conllitutions ne ont ni jufies ni canoniques ~ felon Suarez, fi ce patte tacitte n t e!1: fuppofé : or il nJexifte point) e eu exifrer - donc &c. J'a jou e encore C]ue fi ce paél:e exifie J il efl: tres– mauvais, très-con raire a la nature du vœu) & que les ConL1itu ions, en tous [cns, ne font ni jufies ni canoniques. eprenons la chofe de plus loin ) & da lS la thefe g'n 1 ra e. Le ovice n'6ft point conf– tltué da1 1 s l'état réligieux) fi la tradition de fa per– fonne n'efl: acceptée au moins en quelqne maniere : 'aCCè tation quelconque exige au moins cette forte: tirnrn abilité qui empêche qu'aucune des parties n ui!fe réfou e l'aé1:e par fa feule VOIOl1té. C rincip s fon ils conven s , voici comll1ent je rai– on .e: l ci dit lettel ent dans les Confiitution , Clue la tradi ion n'efi: point accepté€ ; il ea prouyé lairemen 'il ne r' fuIte de ce atte aucune fort 'i nmutabil' té: 0 C outes les fuppofi ions e S a– rez , po [ ·ufii cr les ufage de la oci' é) 0 t chilnérique : donc le ov ice 'a ja 1a· été c it é d'une rnani~r~ ana q e n l'a '1- gl". ..... one l'abus e J t t' • e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_075 (02)

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