Jacques Morgues : Les Statuts et coustumes du pays de Provence

·Jt.y •AY sri E P11." • iù.1 e:a.. ,.,., fNp;Jf~ 11111 pmn flpnare h11mlit4tt,,, patenw,, .t fRfilli hllH f•i11 i11»· fl4 t.J!wrper111lt i1' perfana pt1piili. Qge fa fœur hcri~ÏC\l'C duf.rçre pàf ·Je teflament faiét par le. pere, ne pouuoit prctendtc legitime ~ biens de fon frerc, & par ce moyen elle deuoic rendre l'cotic:re .heredité, felo11 la refolution du Bart.;,, t ''" ''"'"" §·'f"' J•fltlla• n. i.jf. 11dmbell. Caflrmf. in i. ex tri'1m c. dt i111ffic. ttjl11"1.. t.IÇ' t.jifun1 Jum ,i/ias Ji Titio §.vit. vbi glof. dtltgat. r. G1111J. P11p. '!· JOJ. • J· '()/,; Ranch. c.Mantic. de m1jt8. vltim. 'f.10/11,,t. lib. 7. tit. 6. "· 10. t.Mt11oc4 Jib. 4. pr.t{umpt. 7i.1674.11. i..&7. l'eregrin.dejidtimm,,ijf. u1 f· o, 17. &4i. M.Mainard liu. 5. chap. 5i· & parledit Arrefhdu i,. ..May 1637. l\ippellation & cedontcfroic;:ippeb.efi:é mis a11 ·-neanc quant à ce,& par nouueau lugemenr, le fideicommis a efrq •declaré otmert en la perfonne de!dic1es de Gafünd, non feule,. ' ment pour les biens duditIacques ce!h.teur, mais encores pou, .des biens propres.dudit Gafpar,commcmorc en pupillarité. La fc.conde limm.tion dl:, fi le te!la.teur au.oit.di~ par fontè&a,. ·imenr qn'il ne voufoitcque fa femme eufl: :chofe quekol!lque de .{es biens , patc.e..qu.e c'efl: vn refmoign·a_ge qu'H.n'affeél:ionnoit point fa femme , & qu'il pref.ei: -0it h: fob.!l:itué; ·.&celle· cy doit ·efl:re jointe aueda dnquiéme,qui .e!l,fi le te!l:aceur fait vn legs.·à fa femme,.& char~ le fobflimé de payer ledit legs, y adjou!lanc ~u'elle foracmmmtc-dH.dit l~gs ,..&qu'elle ne pourra autre cho~ demander, par laqueHe,claufo il donne à cognoifl:.re qu'il·veui! que le fobflirné focc.e@en to.ur Le demeurant. B11rt. 111 I. 2.. "· 4 r. if. de vulg .& m t. L11ci111 §.fi duo n. 3. if. de h.mdib. inflitNt. Caftre,,f ia l. pero in pri11cip. de leg. z,. quoy ql1t·u le k:.gs dl:oit fait fimplemenc .f pupil111rijùbjhtuto mater À legitimt11 pelitionenon txcldderttflrex A111011. Fabr. d. lit. dt impuber.& •li. fuh.feuJ. d_tjù11t. 16. Celon la maxime parluy efl:ablie dtjnit. 2.. La troi!iéme limitation dt, .fî Ja:.mere ell:oit indigne de l'here~ .üite pour n'auoir demande qu'il fo!l: deceme vn tuteud. fon fils, 4e droiél: l 'obligea.nt àce deuoir narurel,.auquelelle ne pan con– treucnir fans bleifer les loix de la piete & de la nature, l. z.. ~ ma– ter, l.credendum 4. §. hLc 11utemjf. If"' pet. 1111. ce qui c!l:entendu,li le fils decede en pupillarite: car s'il decede pubere,cette pcinec.ef– fe, t. m11treq. c. .cJTertull. comme auffi aux cas marquez par la. glofe, ind. l. que (i cette peine a lieu purement& ftmplement contre la mcre, à plus forte raifon (i elle e.llo1t tutrice,non kuJe.. .ment p:uce que le droiél: ledecide e~preif<mcn.t, m t. 11n11em 6 C. •dTmutt. & 1(jNtll. . u. de '"'ftjs '"l· 40. mais encores parce que e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_115