Anibert, M. : Mémoire sur l'ancienneté d'Arles

. ( 68) rr u·re 1 effet contraire au fyft~­ me de M. Papen; & certainement les effets d'une men1e caufe n'ont jamais ete d ~ fferens. Si une innondation for– moit quelque inégalité à la iiuface d'un terre in ~ l'innondation fui vante _ l'effaceroit, & ainfi, d'une innonda- ion à l'aUtre, l'hypothéfe qt e nous exa1ninons n'acqt1iert pas plus de . vraifembla ce. Les terreins innonde s'elevent toujours d'avantage. Ilspar– vient1ent enfin au-deffus du nivea·u ordina1re de la riviere & de la mer; & alors l'écoule.ment des eaux plu- viales devient fi facile~ que quan memel'indufirie de l'homme 11e S'em– ployeroit point a le favorifer, il fer oit ·· impoffible qu'il fe formit des lagune~ comparables en étend e & en profon– deur aux diver rr.tareca9""es de notre .. . territoire. . Ce ne font point ici des fpéc la– .ons oifeufes. De tous les moye de e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_131

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