Anibert, M. : Mémoire sur l'ancienneté d'Arles

( 67) orfque le rhône furmonte le fol du rivage,lequel efl beaucoup plus eievé . que celui des n1arai , ne ut-il pas, conformé1nent aux loix de la phyfi– q , que les eaux pren ent auffi-tôt leur cours vers l' endro- t le plus bas ; 1 Iles y entraînent la plus grande ·e du lim do telles font char- ; qu' y ec· . nt meme • 1 • • t t c e es er es vot- , roportio e la pen · ' d cou- • 1 ent - e ce, 0 e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_131

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