Anibert, M. : Mémoire sur l'ancienneté d'Arles

( 6o) .doit pas fe fier fans choix at p- port des anciens fur :!es natio1 ; e plufieurs d'entre eux connoiifo1inr fort mal. l faut obièrver ent~p cttltte que les Grecs donnoie .. t le 110m de Celtes a prefque tous les Peuple::; fep– tentrionaux dont ils ignoraient lc:.s no1ns particuliers_, (a) & qu;e dela il a dt1 réfulter bien des équivoques. En un mot_, M. Aillaud a manqué effentiellement fon but lorfque, ·rou– lant peindre les mœurs des Celto-Sa– -lyes à l'époque de la fOnda--ion de Marfeille ~ il copie Tacite_, Atl1enee & Diodore de Sicile. Des railôns qui s'offrent en foule pour combattre l'application de ces autorités,([,) je me borne à obferver (a j Ce fi , nt les propres termes de Strabon , qui ajo· e qu• phore divifoit la terre en quatre î arties, don , (~lon 1 ti, e$ Celtes er1 occupoient une toute ' .ent '"ere. Voy. · ~ r ;t.bo !J li&. r. / (b) I 0 .T~ ienepa.rleqne~~s e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_131

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