Anibert, M. : Mémoire sur l'ancienneté d'Arles

(57) De detiX chofes l'une , ou les Gatl- 1 )ir' A _'etoier1t pas naturelle rn-nt auf– fi ~ --: l. bares q te qttelques-uns le pre te. ne elît, ou fi c'eft aux Grecs q il d .lrerl. 1~ remiere ebauche de leur c ·vilifarior1, qt1el tems n'a-t-il pa fallLl po 1r que les pro gres s'en foi en étendus des bords de la méditerranee jufqu'a cettx de la Loire & de la ei ne? Lorfque J ttles-Cefar fournit tout la Gaule, les Provinces les plus recu– lees de cette vafl:e region, celles qui avoie11t eu le moins de commerce av~ec les nations policées de l'Orient etaient deja parfemees de Villes bien fortifiees. [ a J Le contrafte obferve par ce grand gat ion qu'à l'Agriculture; 8c. que Strabon s'e pri- ' ' ,... '1, dd me a peu pres en metnes termes a 'egar es Mar.. feillois. (a) V id, c~far , Camtnent. pitJJim. e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_131

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