Anibert, M. : Mémoire sur l'ancienneté d'Arles

49) Pour nous, qui t&chons de nous défendre du travers fi fouvent<?'{ peu tu être fi jnftement reproche aux Lé gif tes de laiifer emporter le fondS par la forme,nous confentons qu'on appe le Bourg ou 1-lanzeau l'amas de maifons ou de fimples cabanes qui formoit dans le co1nmencement ce quê nous appellons Arles. A cet égard, l'iden– tité de nom & d'emplacement conf– ti tue reelletnent la contint :te d'exif– tence, d'o dépend l'a c:e neté; & · je defie que l'on prou re a une au- to ité bien precifè q•t os P océe s aient infpiré à nos a êtres, les Cel– .tes , la penfée de fe ra r cher & de vivre etl iàciete. Outre los obiè vat~ _s que re riens · de faire fL r J f1:in, ~ ·te-Li Te ·~ t s a prend é1ue de e reg e de Ta:n in l'ancien, cinquit~me o· eRome, a l'époque de la fon a tl n e Ma ""ei le, es Gaulois, partis des environ d"" · D e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_131

RkJQdWJsaXNoZXIy NDM3MTc=