Anibert, M. : Mémoire sur l'ancienneté d'Arles

( 43 On demandera peut-être pourquot l'antiquite d'Arles etant fi recttlee, cette Ville ne fut infcrite qu'après Narbonne au nombre des Colonies • romatnes. Outre que ces fortes d' établiffe– ment ne commencerent a devenir communs hors de l'Italie que depuis la Diél:ature perpétuelle de Jules Ce.. far, [a] on confulta d'abord la po– fi ti on fur toutes chofes. Les Colot1ies étaient ordinairement placées fur les · frontiéres de l'Empire. C'étaient des boulevards qu'on Oppofoit aux in– curfions étrangeres. Telle était en particulier la {itua– tion . rie Narbonne. [ b] Des la pre- (11) Voyés dans Velleius Paterculus quelle étoit -~ cet égard la politiqae du Senat. Hiflor. lib. 2r , cap . 1 3. . (a )Voyés l'Oraifon de Ciceron pro Fonteio & la notice de la Gaule de M. d'An~ille verbo Narbo. Aina Treyes ne fut pendant lon~- tet.ns la Ca pi · e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_131

RkJQdWJsaXNoZXIy NDM3MTc=