Anibert, M. : Mémoire sur l'ancienneté d'Arles

( o) le tems a changé en marais. [a] es ava ...ages auffi frappans n pouvotent e a"' er à des hommes vivement in ere fès a les decouvrir; & comme 1'. ftinél: de la fociabilite e pour 1 n1oins auffi inné dans le cœur humain qt e dans l'efpece des afio s des abeilles, ils durent fe éu ir en afffz grand nombre pour n profiter p us utilement. I fe forma dès-lors un affemblage e cabanes fur la coline dor1t le fon1- e eft occupé aujourd'hui par les ( a) f'ztandi t,flûs c11usâ [ Gall·i] plerumque tl·i..,,.arum ac jluminum t>etunt propinqt,eitates , dit Cefar , Comm. de bel. G-al. lib. 6. Ajoutés à cette rai(on le fréquent ufage d s ltaigs dt-- rivier , lee c rémot ies relig ieufes <JUé les an– ciels Gaulois célébraient êl~ni les bois & au bord , [ "'voyez l' Hifl. des Celtes de Pello ~ t ·er , li v - c h.a p. 5 , li v. ; ~ cha p. ' . (,ct' liv. 4 w ch a p. . J 1 ,.. at · .r· a ut nt u . n uv.elles preuves qu~ ro- f ,. d., 1 ... ' .. 1 • h b. ' ! • c:. . e a .. c1cnn ment a lte e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_131

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