Anibert, M. : Mémoire sur l'ancienneté d'Arles

(38) Quoique les dépôts que le rh8n fait à fon embouchure ayent dû prendre un accroiffement plus ou moins rapide felon les circonfl:ances, (a) il y eut toujours en ce te partie une progreffion fenfible des terres dans la mer. Dans l'efpace de quatorze cens ans, écoulés depuis Ammien Marcellin , le canal du rhône s'eft prolongé de près de quatre lieuës. 0 1 peut fup- . pofer delà qu'en remontant du qua- J'ai tâché dans un Mémoire particulier 4e prou- · er la juflelfe du rapp~rt de cet Hillorien , contre Je calcul exaglre de t·Irinéraire maritime d•Anto- nin. Voy. ci-aprl1.. . (a ) J'ai donné, dans mon Mémoire fur Am– m"'en Marcellin, la raifon de l'étonnant~ rapidité a ·.:ec laquelle la terre a gagné fur la mer à l'embou chure du rhône, de uis ~nviron un fiecle. Le~ n'lê– mes ca.ufes n'exiŒan pas d ns les tems précédente. la progreffion a dt! être pl uc; reglée, & par confé_ ~uent il . t plus faci e de l'atfujetti u · da . •. e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_131

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