Anibert, M. : Mémoire sur l'ancienneté d'Arles

- 36) éographe, (a) n'avoien certai- ement pa de quoi tent r des 'tran- ers au point de les engager às expa– trier. Suppofe donc que les motifs auxquels Juftin attribue la tra:nfnü– gra ion des Phoceens foient verita– bles, ce qu'i dit de la beaute du Pays, vu par les Grecs à l' unbouchure du rhone~ ca reroit to jo'lrs mieux aux vi 1 s d'Arles qu'à ceux de Mar– elle ; q and même l'Hifioire n'ex– . rimerait pas la difference des lieux ecune p1ecifion, une clarte qui ne aiffe t ni fcrupules ni regrets at x Leél:eurs les ph: s circonfpeds. U e ieule difficulte pourrait em 7 arraffer ceux oui n'ont aucune co .. - - ( ) Ma.ffilitJ À o.. njibtss condita , fit a loc ~- 'fr.t·ofo. • • . . . folum po!fidetit ( 1 affil ien fes ) .ol · c vitibus con{itum , {r1smenti at~tem ob afperitate'm fterile Jtàque m"r · magis q am 1er-r11 fiden s , 1t ; eniNm potius cont1~lert~ JI. tr b. • e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_131

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