Anibert, M. : Mémoire sur l'ancienneté d'Arles

,4) Jur une pointe qui s~ava11,ce dans la 1 er (a) La nou elle Ville ne fut donc pas t fl-ruite au lieu d'abord reconnu, , ~ cette fitt1atio11 riante fur le riva– ge u euve. Il y a en effet une gran– de diŒérence entrel'expreffion Ojlio rllodani & celle Propè a/lia rhodani. La premiere eft plus déterminative, 1 u.f:in les confondoit fi peu que, fachant que Marfeille n'eft point fi– u '.e fur le rhône, il les a employées 'une & rautre.) pour donner à fon ·écit toute l'exaétitude poffible. (b) 1\'Iais fi l'on:demandoit pourquoi les ( a ) Condita igitur Maffilia eft propè oftiiJ rh~­ .flni amnis , in, remotoJinu vtlNti in angulo mA– ris. ibid. ( b ) Ce qui donn e."' core plus de po id' a la dif– tin ion, c'eft que Juftin eft l'abreviatcur de Tro– gtie Pompée, Gaulois d'origine & né dans Je Pays es Voconces, c'eft-a-dire, aux enTirons de V ifo ·e Villes pe éloign 'e de rt arfeille. e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_131

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