Anibert, M. : Mémoire sur l'ancienneté d'Arles

. ( 3 3) L . r.· '1 . , t eur11remter 101n, a 1~ur arrivee, 1 t de iè concilier l'amitie dtl Roi, dans les Ctats duquel ils fe propofoient de planter leur Colonie. ( a.J Le capr· ce d'une jeune fille ap:tJla.nit toute les dif- · fi cultes ; & le Prince Gaulois, qui n'avoit pa dedaigne pour gendre un des Command1.ns de la Flotte Grec– q 1e, lui accorda l'emplacem.ent né- .c'-'ffaire pour ba tir une Ville. ( b) Etz conjè'q uence _, pourU it l'H. orien , .1darjèille fut forde'e auprè ·des hou– ches du rhône, dans ur golfe recule, . Phoccn fes) in finum Gallictttn,cftio rhod'"'tnÎ an3;:~ , Jevene'i·'· Ctsius loci arnœn;t ... te C:{,fJt • , reverfi do- ~ ~ J mt-tm , referentes qu~ vider tr i t plure s fol licitavere. Duces claffis Sitnos fS Protis fi4ere. J uflin. lib. 4 J , cap. 3. { 1t) Regem Se o' rigiorum, Nannt4m ~~om:ne, i cujus .finibus rbem co~Jdere g~J 2 :tbnn*', ~&1nic.ti.a . ~~· pet entes CJn'V·v" ; iktnt ibid. ( b ) Pr tis , {llfl1lS ex hr{pir.o gener l.o ::,m ;o • den.d4t Urbis a focero JJccep:t. ·bid. c. e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_131