Anibert, M. : Mémoire sur l'ancienneté d'Arles

( 31 ) Colonies, ils euffent négligé le pofte d'Arles, reconnu dans tout~ l'an ti.., qui té pour un des plus favorables au comnlerce,fi la place n'eut ete occu– pée par les naturels du Pa ys , de ma.. niere à ne pouvoir être difputée fans danger. Le té1noignage d'Etienne de Bizance, qui range Avignon & Ca– va.llon parmi les Colonies de Mar– feille, ne permet à cet égard aucune replique raifonnable. Ainfi donc nous raprochons d'au tant l'exill:ence de la ville d'Arles de l'epoque de la fondation de Marfeille. (a) Qtlelques remarques fur le recit de J uftin, cel i de tous les ancien . (A ) Le l\. arfeillois avoient déjà fondé des ê~­ lonies du tems de Scylar, qui écrivoit environ cinq cens ans avant J · C. 'T.JO "j le Periple de ce Géographe. Il y a une iacune en cet ndt"oit & le noms des CQ-_ lon ies y m-.nquetlt,excepté celui d Empuria aC .. lo e · / e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_131

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