Anibert, M. : Mémoire sur l'ancienneté d'Arles

28) ·labitans du Pays;menagemens qu on , n'auroit pas garde iâns doute envers des Proprietaires de fraîche date. Les n1êmes raifons nous obligent à croire que le territoire de l\ 1 l3.rfeille fut dans l'origine un autre den1Cn1- brement de cel· i d i\rle~; & il efl Certain que datlS tOlite 1, ere11dL1e de Pays circonfcrite par Jas deux ni onu– mens ci- devant r:itCs, les S:1lyes ' • . , ' "'T .11 n eurent Jamais a· atlt rr-l " 1 , e q11e cette derniere. On a regardé comtne une preuve qu'Arles n'exifioit point encore, la donation faite at1x MarfeilloÎs du Canal ou Foffès de 1\'!arius; les doua– nes, les tours & le te1nple de Diane Éphéfienne que ceux de Marfeille établirent, fui ;ant Strabon~ [J r ce même canal.E.fl -il poffible, ajot te.-t– on·, que les A!a?jéillois n" ea(Jent 1 1 l r: . ep1J>ouveen tout ce ,1-aLtc•!neop /?)lll!J e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_131

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