Anibert, M. : Mémoire sur l'ancienneté d'Arles

1 .. r · ' l'.d' .·~ ·1Ji1ent entierement 1 ee e .Aillaud , adoptte par ln modern·- rJ.ii1orien de Provence. Je le répéte , fi la fond-ation d'Arles n'a voit de b ' 'd' 1· d'A.. ·1 i- eaticoup prece e ce le tx, 1 e- , roit inconcevable que le territoire de la pre1niere eut depaffe celui de l'au,– tre dtl côte dt1levant ~ c'eft-à-dire , en un fens oppofe à la fituation tef– peéri ·ve de detlx Villes. Aix f 1t donc originairen1ent bi ti fur les terres des Arlefiens, & qt.. and 011 vot!ltlt lLlÎ con1pofer un arrondif– fement, ce fut en retranchant de ce– ltli d'Arles.l\/lais comme en pareil ca les Rotnains fe piq 1oient de modera– tion & d'equite, [a] on pritlemoins qu'o11 pût du don1aine des anciens -----------------------------~ a) On peut en juger par les reproches q 1e Ci ceron fait à Marc-Antoine d'avoir empiété fans rnefure fur le territoire de Capoue pour forrr1er c ~ lt~i de Cafilin 11n. 1""oy. l;t, feconde Philippiqtteo , e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_131

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