Anibert, M. : Mémoire sur l'ancienneté d'Arles

( 2 5.- J'obferverai d'abord q·1e ni Po1yb~, ni Tite-Live n'ayant teriu le jottrnal des marches de Seipion &de Marius, c'eft en vain qu'on chercherait dans les ecrits de cetlx-la l'enumeration des differentes Villes dont ceux-ci s'approcherent. Mais outre qu'il feroit peu fenfe de fuppofer qu'un Hifl:orien a dit tout ce ce qu'il auroit dû ou pu dire, il fuffit poLir jt1fiifier fo11 fil ence, qt1'une Ville 11'ait ete le theatre d'atlCUn evene– ment men1orable' tel qu'un fiege, une bataille donnee fous fes rempart~ &c. Probablement il ne fe paffa rien de pareil a Arles lors de la ven11e de Seipion & de Marius; & comme les M. Papon s'efl: encore approprié cette idée de J\t1. Aillaud , & après ~ l'avoir .propofée comrn une fimp1e conjeéture dans fon Hiftoire de Proven– ce, tom. r , pag. 19 I note, il /a reproduite fur le ton de l'affirtnation dans ·fon ova2"e littér i d J 11 o tre Province , J a.g, 1 1 o er j'ui v ., e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_131

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