Anibert, M. : Mémoire sur l'ancienneté d'Arles

. I 8) r· ~)r.e anx: naturels de la Contr~e, .:--ut a·Ifli b plus anc.ienne? Un Peuple fixe depu:s tant de fiecles dans des li– rnites aXez etroi!:es, pouvoit-il1né– co11noître cet i.\1.rrit1ét naturel qtli in-: ·ite les ho"" 1nes à ra:v·ocher leurs ha-– ...a .~ons['{ a ~n ·ltipF~r par-là les ra- 1, .. 1 1?" b" l & d , po!.. ts d ainltle, a 1 a 1tuae e ne- .- ffit~ q~ 'i1" o~ tne~ef.tairetnent entre ClX? i\.ini~ donc a l'epoque oules Salyes · pennirent aux Grecs de bitir Mar- 1eille, ·· ils devo;ent avoir des Villes, · des Bourgades ou quelque chofe d'é– quivalent, & tnJt nous invite à croi– re qu~ Arles était du nombre. ela fimple con]eél:ure, il efl: tems ' e palier aux preuves. Le nom eS egobr~giens ou de S t– gcbriens [a] donné par Juftinluifeul ( ~-'~ On trouve l'une & I,autre lecon dans 1er_ an ci ens ·l ~Jf[· ( Vt~r · le Juftin variortt;,) & touteç d u x cad reu t éo- le rn en t à l'interprétation que j _ ~·opnf~ d'air 's Pel1~ · t_ier., . e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_131

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