Anibert, M. : Mémoire sur l'ancienneté d'Arles

xxv en aulli grande quantité qu'au quinziéme & au feiziéme liécles, s'atténuent & fe difli.. pent a!Tez facilelnenc. Elles ne laiffent guéres appercevoir leurs impréffions malfaifàx tes que dans les habitati ns champêtres bâties fur les bords ou dans le fein des terreins marécageux. Des Écrivains exaél:s n'auroient pas laillè éehapper ces conlidérations. Ce n,efl: point fur un indice unique qlte l,on doit juger de climats & des tempérammen ~; il faut en ra pro~l1er, en con1bit1er les qu.alltés différen– tes, & favGir en · failir les modifications. Il eft pourtant de la pru<ience de 110 Compatriotes de veiller, foit par l'etltretien des canaux de dellèchement , foie par d'au– tres moyens , s'il en e{l: , à ce que ces marais ne pui{fent redevet1Îr · c~ qu~ils éraient il y a deux ou rrois fiécles. Car s'il alloit encore fe faire que la force des vents fût Ïttfuffifante pour contrebalancer la maffe des exhalai fon p trides, il feroit à craindre que MJ. • Pa· pon & Darl c nJeulfen d.t lavé ité p r • • • tctpatlon. e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_131

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