Anibert, M. : Mémoire sur l'ancienneté d'Arles

xx que lJon e~r bonne grace d'alléguer des pré- ugés, lorfque tout confpire à les corn ban · & à les anéantir ? Vous ne fe rés pas fiché fans dou e que je remonte à la fource de celui ont il sJagit. Dans le cours e mes recherches fur l'Hif– oire d' ries, je ne me fuis point 'apperçu u'au ouziéme, au treiziéme, ni même au quatorziéme ftécles ·on éprouv~t en cette ille aucune influence pernicieufe de la pro– x·mité des marais. . Dans le quinziéme liéele, les épidémies commencent ~ devenir fréquentes. ·Elles le font encore d,avantage dans le feiziéme. Les Annales de la Ville, & les Délibérations du . Confeil Municipal en fournilfent la preuve. On y voit enrr'autres qu'un des accès de ces fortes de maladies populaires, auxquelles on onnoie alors le nom général de Pefle, dura prefque fans reiiche depuis l'année 1 j' 2. 1. j -{qu'en 15; 1. inclulivement. · Elles teparoiŒ'ent à di erfes reprifes dans [e courant du même fiécle. Auffi Françoi e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_131

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