Anibert, M. : Mémoire sur l'ancienneté d'Arles

... ( 88 )' r ltt, ont precipité les pr ·.nci:· .. IL"' Cre mens vers}'em botiC11ure dtl flet 1 r _ C'efi fans doute a ces det1x r~ i[(Jn combinees au'il fattt attrib 1 or 1~ promptrec omentdelan1erencette . par""· depu · ·quatre- ningt ans au I 1~. Mais q .o· qu'aU!Jaravant Ir\ pro– ,-effion fut plus lente, e le ne s'opé– roii pas moins, puifque la caufe en x~fioit totljou ·s, & qu'il eft reconnu · en phyfique q te les mêmes claufes produifent confl:am1nent les mêmes effets. On ne mettra point en doute, j' ef– p re que la chûte des torrons , les . avages des eaux débordées n'a y nt entraîné , des l'origine du monde, p o 1 moins de limon. Dela la for– tnat·on des ·nots & des alluvions de to c elpece dl a•1ffi ancienne que c le des ri\ri res ou ils naiffent. Le 1 ;( · l des cïemens a pu & a dû var· er; <·rni: 1n portion de la vafc d rhône '"·~ J . .. " - .: , ., ' ..... e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_131

RkJQdWJsaXNoZXIy NDM3MTc=