Anibert, M. : Mémoire sur l'ancienneté d'Arles

7Ô) miliett des terres fous la forme de di– vers étangs plus nombreux & plus confiderables a 1nefure C}Ue les detlX branches du rhone tendei1td'avanta– ge à s'ecarter l'une de l'autre.Le \ 7 ac– cares & fes differentes bra11ches en Camargue , _ le Galéjon & au tres étangs adjacens dans le Plan-du- ourg juil:ili~nt cette conjeCture. La cornmt nication entre la mer & · es étangs les plus avancés dans les ~erres, devenant totlS les jot1rs plus ifficile par les progrès continuels . es alluvions, aura ete enfin totale– ' ~ e11t interrompue par des embarras . • r_f \ • • '\ ~ p tlS a11es a 11nagtner c1u a a111gner, mais dont l'é oignement de a mer aura été la principale caufe. L'évapo– ration, la faculte que chaque Pro- . priétaire avoit autrefo:s d'enlever & de .vendre le fel qui fe forn1o ·t natu– rellement dan"' fes terres, bien d'a .. ,. e raifons en ore auront di1, · tl! e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_131

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