Anibert, M. : Mémoire sur l'ancienneté d'Arles

72 Les de'pJts des jahles ont e'leve' co;;.~ fidérahlement le terrein depuis plu– fleurs fiecles _, & e1npeChent te'cou!e rnent des eaux qui, en fe'journa nt trop long- te1ns au 1néine endroit_, y ffaiffint la terre & formént des cavi- ' tes. uelles font les ea x qui fejournent? Pourquoi féjournen+-- elles, 1 les ca· . ' Î. d'.' .c , vites ne 10nt eJa toutes 1ormees? La nature des eaux eft a confide rer d'abord, car fi l'on fuppofe que ce font celles du rhône ébordé, il e impoffible u'e les ne ai ent des dé p&ts au lie de le r fej Ir. Si ce font celles de a luye, ·1 e pleut ni affez frequemment, ni affez abondam- ment dans notre ~limat, pour que ce qui ne peut s'imbiber dans la terre for. me des cavité de plufieurs millions de toifes quarrées, tehes que nos n1arais. . Je ne fais fi M. - Papon a eu fur ce fujet des ide'es biuz flettes·; m · fe ' . 1 e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_131

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