Nouvelles lettres instructives et amusantes sur l'Académie des Belles Lettres de Marseille

b.-t c:~tret'ien -eil toujours caunique , & la mediiànce eil: un de leurs' vices le plus conlmun. Ils fe pi– quent dans leurs repas, de goût dans les {èrvices, & de friandife dans les viandes. Ils y {ont propres) '& fobres en general. La vivacite des MarCeillois apr~ che un peu cl c la brutalité. La Ma– fine y contribuë bealicoup.Ils{one peu polis de leur naturèl, mais Ils le deviennent par le con1erce de . . la vie~ Leur politcffe a toujours un perit air de groffiereté. Ardens dans leur amour.; leur paffion (ur , ce point, eft .indomptable. La chaleur du Pays, entretient celle de leurcœur. L'avarice eft un vice , qu'en geüeralles Marfeilloisigno- rent , & tnême les jeunes gens l [ont j?Iodigues. -, .• e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_178

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